Ma vie en quelques mots :
Je suis né le 9 Septembre 1983 à Bron, à proximité de Lyon dans le Rhône en France. Son père travaillait dans une usine d’incinération à proximité de Lyon et sa mère ne travaillait pas, du moins, pas encore. Je ne resta que trois mois à Lyon puisque je partit dans le sud de la France, à Avignon, mon père ayant été muté. J'eus une enfance banale. J'eus tout de même la possibilité d’entrer dans un des meilleurs établissements d’Avignon grâce à l’aide de mon oncle. J'était dans les cinq meilleures de la classe que se soit en CP comme en CM2. Les enseignants disaient de moi que j'était constant dans son travail. A partir du collège, sa devint plus compliqué. Mais sa ne m'empêcha pas de rester parmi les meilleurs de la classe. Je préférait les matières scientifiques et voulait devenir astrophysicien plus tard. Mais un jour, j'eus une révélation. J'étais en stage en quatrième à la Base Aérienne d’Orange. A force de discuter avec des mécaniciens, des pilotes et autres militaires. Je choisis donc qu’il entrerait dans l’Armée de l’Air comme pilote de chasse. J'avais toujours été passionné par l’aviation mais le chemin pour pouvoir s’asseoir dans un cockpit était très long et semé d’embuches. Entre temps, mon oncle, ingénieur de renom en informatique, me permit d’entrer dans le meilleur Lycée d’Avignon. Mais c’était totalement différent de ce que j'avais fait auparavant. Il y avait quatre heures de travail hebdomadaires minimum mais c’était pour moi un défi. Je baissa en niveau mais je réussit tout de même à atteindre la fin de mon enseignement à 17 ans. Maintenant, j'avais deux solutions : m’engager comme pilote de chasse sous contrat ou continuer dans des classes préparatoires. La deuxième solution me permettrais de devenir officier de carrière. Je choisit la deuxième solution et passa deux années infernales où je faillis plusieurs fois abandonner. Mais, comme je le disait si bien, abandonner n’était pas dans mon vocabulaire. Je proposa sa candidature à l’Ecole de l’Air à l’âge de 19 ans. Je passa le fameux concours et passa in extrémis. Sa y est, j'y était presque. Je devait à présent m’accrocher. Je commença enfin à voler sur des petits coucous jusqu’à terminer ma formation d’ingénieur. Je fus donc envoyé à Cazaux pour apprendre à piloter sur des jets. Je pris donc les commandes d’un Alphajet quand on me le demandais. La formation fut dure mais réussit tout de même à arriver deuxième de ma promotion à l’âge de 24 ans. Je rêvait de pouvoir faire partie de l’élite, sur les premiers Rafales que possédait l’Armée mais j'étais deuxième, et donc je ne pouvais qu’être pilote sur Mirage 2000. Mais j'eus vraiment de la chance. Le Major de promotion refusa le Rafale pour prendre le Mirage F1, tout ça pour être basé dans la même base que sa compagne. J'eut donc la chance de pouvoir choisir le Rafale.

Je commença ma formation sur Rafale avec le grade de sous-lieutenant et un an plus tard, je reçu une mission de trois mois en Afghanistan. Afghanistan, un pays inhospitalier avec de grandes chaines montagneuses. Mes missions étaient toujours du même type mais toutes était différentes : Reconnaissance photo et Close Air Support, l’appui aérien aux forces au sol. Ces dernières étaient les plus courantes et se déroulaient presque toujours dans le même secteur. Sauf une fois, où mon chef d’équipe et moi furent appelés pour protéger l’évacuation d’une équipe des forces spéciales américaines dans une zone où il n’y a normalement jamais aucunes missions d’organisée. La mission, qui devait être un simple soutien Aérien se transforma en un véritable sauve qui peut. En effet, après avoir presque utilisé tout le carburant qu'on avaient à tourner en rond au dessus de l’équipe, des missiles sol-air partirent de tout les côtés et j'eus juste le temps de renverser mon chasseur de l’autre côté de la montagne et donc éviter les SAM. Mais mon leader n’eut pas la même chance. N’ayant pas eu le temps de réagir, son appareil s’écrasa en flamme. Avec l’aide de trois F-15 venus en renfort, je neutralisa tous les bastions ennemis, effectuant donc ma mission avec succès. Après cet évènement, je reçu le grade de lieutenant et je retourna en France, à la maison.

J'était encore sous le choc de la dernière mission que j'avait effectué lorsqu’on me proposa d’intégrer le SGC. Pourquoi moi? Je ne me posa pas la question. Étant donné que je n’avait pas véritablement d’expérience en combat au sol, je passa un an avec les « cadets » du SGC. Certes je n’était pas un cadet, loin de là, mais c’était ma décision. A l’âge de 27 ans, après avoir effectué ma formation et reçu le gène des Anciens par génothérapie, je rejoint la Galaxie de Pégase, d'où jepart pour Orion avec le reste de l'équipe Veritas